Quelle
que soit la nature du biogaz, le
procédé GASWASH sépare le biogaz de
ses impuretés (CO2, H2S, COV, Siloxanes).
Le taux de méthane du biogaz passe alors de 45 % à
98 % et peut être directement injecté dans le réseau
national de distribution de gaz de ville.
L’avantage de notre procédé GASWASH est qu’il utilise
une technologie fiable, robuste, largement éprouvée
et provenant directement de l’industrie. Ce système
s'adapte en fonction de la variation de la richesse
en méthane selon la composition du biogaz brut entrant.
Pourquoi méthaniser nos déchets ?
la
méthanisation, encore à ce jour sous-utilisée,
apparaît comme une réponse à la
double question de la gestion des déchets et
du développement des énergies renouvelables;
sans oublier la lutte
contre les gaz à effet de serre dont le CO2
fait partie.
Le
principe de la méthanisation consiste à récupérer
les déchets organiques pour les valoriser sous forme
de biogaz par fermentation anaérobie.
Les déchets organiques peuvent provenir des activités
agricoles (lisiers, fumiers), industrielles et tertiaires
(notamment déchets des IAA) ou des collectivités (déchets
de restauration, tontes de gazon…).
Le biogaz est composé notamment de méthane en proportion
variable, qui lui confère un potentiel énergétique.
Ce biogaz, après épuration, est utilisé
pour produire de l’électricité et/ou de la chaleur.
Il peut également être injecté dans le réseau de distribution
de gaz, voire être utilisé en gaz carburant.
A
ce jour, l'épuration
du biogaz demande une succession de phases opératoires.
Le procédé GASWASH a l'avantage de traiter
l'ensemble des composés indésirables en une
seule opération.
Outre
le biogaz, la méthanisation agricole permet l’obtention
d’une matière fertilisante, le digestat, qui peut
être épandu
(dans le cadre d’un plan d’épandage, ou comme produit
normé après compostage).
Le développement de la méthanisation s’inscrit pleinement
dans les objectifs de la loi de transition énergétique
pour la croissance verte promulguée le 18 août 2015.
La
France souhaite développer à l’horizon 2020 les énergies
renouvelables à hauteur de 23 % du mix énergétique,
avec une forte contribution de la biomasse à ces objectifs
(bois-énergie et méthanisation).
Ainsi, l’État fixe un objectif de 1 500 méthaniseurs
en 3 ans, et la méthanisation est au coeur du plan
Énergie Méthanisation Autonomie Azote (EMAA)
du 29 mars 2013 (voir
site internet http://agriculture.gouv/Plan-Energie-Methanisation).

On
notera que dans cette configuration, le biogaz n'est
pas épuré donc source de nuisances olfactives
dues à H2S et NH3.
D'autre
part, le CO2 de fermentation est rejeté à
l'atmosphère (gaz à effet de serre).
La
filière actuelle biogaz-biométhane
Les
utilisations du biométhane sont les mêmes que celles
du gaz naturel : eau chaude sanitaire, chauffage,
cuissons, besoins industriels, etc. Une des valorisations
pertinente encore méconnue est la valorisation en
carburant.
L’utilisation de biométhane en carburant dans les
transports (on parle de bioGNV) permettrait de réduire
les émissions de gaz à effet de serre dans ce secteur.
En outre, étant entendu que le bioGNV et le GNV (gaz
naturel pour véhicules) ont la même composition chimique,
les véhicules roulant au gaz ainsi que les stations
de remplissage peuvent être alimentés par du bioGNV
sans modifications techniques.

Schéma de la filière
classique
La
purification des biogaz
A
ce jour, la purification des biogaz est effectuée
principalement pour la valorisation du biométhane
par injection dans les réseaux de distribution
du gaz naturel d'origine fossile.

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Le
schéma ci-dessus montre la complexité
d'une telle installation de purification comportant
plusieurs unités de traitement et on
notera que le CO2, momentannément piégé,
est relargué à l'atmosphère.
De telles installations représentent
un coût important en investissement et
en fonctionnement (Coûts du charbon actif
entre autres).
Ci-contre un schéma
d'unité de traitement avec le procédé
GASWASH
Le
procédé GASWASH, innovant par
sa technologie simple mais particulièrement
efficace, trouve une place prépondérante
parmi les techniques
de purification actuelles des biogaz.
Il est le seul connu pour
éliminer totalement dans la même
opération et sur une seule unité
de traitement CO2, N2, O2, H2O, H2S, NH3, Siloxanes,
Organochlorés ou Organofluorés, etc....
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Actuellement, quel est le bilan
CO2 d'une unité de méthanisation ?
Chaque
m3 de biogaz issu de la méthanisation
a participé à éviter le rejet
dans l’atmosphère de 2,3 kg de dioxyde
de carbone (CO2) responsable du réchauffement climatique.
Une unité de méthanisation de 2 MW électrique,
par le principe de la méthanisation,
permet ainsi d’éviter l’émission d’environ 9 000
t de CO2
dans l’atmosphère.
Cependant,
il faut avoir présent à l’esprit que chaque
m3
de
biogaz produit contient toujours entre 20 et
40% de CO2 soit entre 3 kg et 6 kg
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Ce gaz carbonique est finalement rejeté à l’atmosphère,
soit lors de la purification en biométhane par les
techniques concurrentes, soit dans l'utilisation du
biogaz sans purification.
On
notera que cette même unité de méthanisation
de 2 MW et qui a consommé environ 4 Mm3 de
biogaz a malgré tout émis
entre 800 t et 1 600 t de CO2
dans l’atmosphère selon la nature des substances méthanisées.La
composition des biogaz et donc de ses impuretés
varie suivant la nature.

Un
rapport INERIS (15/12/2009) mentionne des concentrations
d'oxysulfure de carbone (COS) de l'ordre de 0,047
à
0,29 mg/m3 dans le biogaz issu de la méthanisation
des boues de stations d'épuration.
Le biométhane: Vers un
coût de production enfin compétitif ?
le
procédé GASWASH est la seule technologie
connue à ce jour, permettant d'éliminer durablement
et de récupérer avantageusement le CO2 issu de la
méthanisation sous forme de carbonates et qui est
valorisable notamment en industrie.
Il permet le captage total, durable et en une seule
opération du CO2 mais aussi de l'ensemble des composés
volatils polluants (N2, O2, H2O, H2S, NH3, Siloxanes,
Organochlorés ou Organofluorés).
Le
procédé GASWASH permet un coût de production
de biométhane 3 fois moins cher que la concurrence
et
permet donc de réduire l'écart de coût entre
le méthane d'origine fossile et le biométhane pour
l'incorporer dans le réseau.
Le procédé GASWASH:
Un nouveau procédé innovant
Le
système d'épuration complète
des Biogaz de toute nature en une seule opération
et sur une seule unité de traitement.
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La
valorisation du biogaz
Constitué principalement de méthane et de gaz
carbonique, le biogaz est valorisé efficacement
en biométhane
par des procédés d’épuration.
Cette technique, appelée méthanisation, est
provoquée dans des digesteurs, lors du traitement
des ordures ménagères, des déchets industriels
ou agricoles et des boues
d’épuration.
Le biogaz, issu de la fermentation de ces déchets,
est une source d’énergie renouvelable qui après
épuration peut se substituer au gaz naturel
d’origine fossile.
Les agriculteurs, industriels, collectivités
traitent ainsi leurs déchets tout en valorisant
leurs potentiels énergétique et économique.
La solution d’épuration GASWASH permet la valorisation
de tous les biogaz pour l’injection au réseau
de gaz naturel, la production de carburant véhicules
(biométhane gazeux ou liquide) ou encore la
production d’hydrogène renouvelable après reformage
du biométhane.
La
technologie d'épuration par la technique GASWASH
Afin de transformer le biogaz en substitut du
gaz naturel, il faut le débarrasser de l'ensemble
des polluants.
Le procédé GASWASH propose une
solution technique qui permet aujourd’hui aux
producteurs de biogaz de le valoriser efficacement
en biométhane par son procédé d’épuration.
La technologie utilisée permet d'éliminer
durablement le dioxyde de carbone (CO2 recyclable),
et d'éliminer dans la même opération
N2, O2, H2O, H2S, NH3, Siloxanes,
Organochlorés ou Organofluorés.
La
filière hydrogène, à
partir de la méthanisation, devrait logiquement
trouver sa place dans un avenir proche.
http://www.innovalor.fr/biogaz-biomethane.htm
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Une
autre implantation du procédé
GASWASH d'épuration du biogaz est possible
suivant ce schéma suivant les procédés
actuels:

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Le système
P.T.C. s'inscrit dans ce nouveau concept de purification
/ dépollution
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Le
cycle d'élimination durable des polluants
La
boucle P.T.C. system
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Ce
système est actuellement le seul connu
pour éliminer durablement le CO2 et qui
peut être recyclé
en filière industrielle.
Dans une période particulièrement propice au
développement des énergies alternatives aux
ressources fossiles, la perspective d'intégration
des biogaz dans le paysage énergétique français
est d'un intérêt certain d'un point de vue politique,
économique et environnemental.
En effet, la valorisation des résidus organiques
domestiques, industriels et agricoles ou le
traitement des eaux usées satisfont aux notions
de développement durable et d'énergie renouvelable,
clairement explicitées dans les récents engagements
et accords internationaux.
L'impact environnemental de la mise en oeuvre
de filières de valorisation de biogaz résulte
en une diminution conséquente des gaz à effet
de serre rejetés.
Les
récentes fluctuations des coûts liés à l'importation
d'énergies fossiles ont également influencé
favorablement le regain d'intérêt économique
pour la production d'énergie à partir de biogaz,
qu'elle soit directement sous la forme de gaz
à haute pureté en méthane ou sous forme d'électricité.
Le
prix de revient du biométhane complètement épuré
par le procédé GASWASH est de
0,054€ / kWh. quand le prix de revient dans
les systèmes concurrents se situe vers 0,15€
/ kWh.
Le
procédé GASWASH. permet un coût
de production de biométhane 3 fois moins cher
que la concurrence et permet donc de réduire
l'écart de coût entre le méthane d'origine fossile
et le biométhane pour l'incorporer dans le réseau.
D'autre part, la technologie GASWASH permet
un équipement de purification des biogaz extrêmement
simple dont le coût d'investissement est sans
commune mesure avec les procédés actuellement
existants.
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Innovalor
recherche un partenaire ou un associé
pour P.T.C. System et les procédés
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